Hôtel de légende dans le monde des Arts où vibre encore l’âme de tous les grands artistes qui l’ont fréquenté.
« Aimer, c’est rien. Se faire aimer, c’est tout. J’aime les Pléiades » y a écrit la grande Mistinguett.
D’hier à aujourd’hui, le même enthousiasme s’exprime dans toutes les dédicaces, sur tous les tons. Humour, façon Sacha Guitry : « c’est simple, a demain madame » signe-t-il à la fin de chaque séjour. « On s’y sent chez soi » a résumé le cinéaste Bertrand Tavernier.
Rien d’étonnant à cela: depuis l’année 1830 les Pléiades sont un lieu un peu magique à l’esprit BOHEME.
A cette date, l’hôtel n’est encore qu’une humble maison de village, quand elle devient propriété du peintre Charles Daubigny. Elle voit alors passer dans ses murs parmi les meilleurs artistes de sa génération: Diaz, Descamps, Corot, Millet, Rousseau, Stevenson, des hommes farouches et libres, bourrés de talents et d’audace, portés par leur envie de créer, cherchant l’inspiration dans la nature, la lumière et dans ces hommes et femmes, paysans aux gestes éternels, gardiens de la terre et des valeurs ancestrales.
Magistralement immortalisés dans « l’Angélus de Millet ».
Ces artistes passionnés vont enflammer le petit village de Barbizon, si typiquement français, et très vite cette flamme sera vue du monde entier !
Aujourd’hui elle brille toujours dans le jardin intérieur des Pléiades : « Flamme » est une des plus belles sculptures de Mélanie Quentin.
Elle représente un jeune couple de bronze, tendrement enlacé, symbole du désir et de l’amour : les deux forces sans laquelle aucune création n’est possible et qui font de nous tous les artistes de nos vies.
Cette maison entièrement revisitée et rénovée est donc la votre, et nous sommes là pour vous servir.
